« Êtes-vous prêt(e) pour le 1er décembre ? » Vos factures s’arrondissent… et c’est obligatoire ! |
A partir du 1er décembre 2019, une nouvelle réglementation entre en vigueur. En effet, tous les montants payés en espèces (billet et monnaie) devront être arrondis aux 0 ou 5 cents les plus proches. Le gouvernement belge vise, par ce moyen, à réduire le nombre de pièces de 1 et 2 cents en circulation. Qui est concerné par cette nouvelle mesure ? Qu’est-ce que cela implique ? Et surtout, comment adapter vos logiciels ? Voici tout ce que vous devez savoir. |
1/ Qui est concerné ? L’obligation d’arrondir les paiements en espèces concerne toutes les entreprises poursuivant de manière durable un but économique. Cela englobe également les professions libérales, toutes les personnes et les administrations qui exercent régulièrement des activités économiques en relation avec des consommateurs. Il en va de même pour les associations qui exercent de manière régulière une activité économique, qu’elles aient ou non un but lucratif. |
|
2/ Comment cela fonctionne-t-il ? L’arrondi s’applique sur le montant total des achats payés en espèces par le consommateur. Vous ne devez donc pas arrondir chaque article séparément. L’obligation vise tous les paiements en espèces effectués par des consommateurs (particuliers) pour autant que : Le paiement soit effectué en présence physique simultanée du consommateur et de l’entreprise Le montant à payer soit supérieur à 5 cents. Pour les autres moyens de paiement, l’entreprise peut choisir d’appliquer l’arrondi ou pas (lorsque les mêmes conditions sont remplies). Si tel est le cas, l’arrondi sera appliqué à tous les consommateurs et tous les moyens de paiement. Les ventes à distance (par internet par exemple), entre particuliers ou entre professionnels, ne sont pas concernées. |
|
3/ Quelques règles à respecter Si l’entreprise applique l’arrondi uniquement sur les paiements en espèces, cela ne s’applique qu’au montant effectivement payé en espèces.Si l’entreprise applique l’arrondi à tous les moyens de paiement, cela s’applique sur le montant total à payer. Dans ce cas, l’entreprise doit afficher de manière visible le texte légal suivant : « Le montant total est toujours arrondi ».Le ticket de caisse ou le document justificatif doit mentionner le montant total à payer ainsi que l’arrondissement appliqué. |
4/ L’arrondi en pratique Le montant total payé est arrondi au multiple de 5 cents le plus proche : Si le montant total payé en espèces se termine par 1 ou 2 cents, celui-ci est arrondi vers le bas.Si le montant total payé en espèces se termine par 3, 4 ou 7 cents, celui-ci est arrondi à 0.05 €.Si le montant total payé en espèces se termine par 8 ou9 cents, celui-ci est arrondi vers le haut. Le montant total payé est arrondi au multiple de 5 cents le plus proche : – Si le montant total payé en espèces se termine par 1 ou 2 cents, celui-ci est arrondi vers le bas. – Si le montant total payé en espèces se termine par 3, 4 ou 7 cents, celui-ci est arrondi à 0.05 €. – Si le montant total payé en espèces se termine par 8 ou 9 cents, celui-ci est arrondi vers le haut. |
5/ En résumé Parce qu’un schéma vaut mieux qu’un long discours, vous trouverez ci-dessous un récapitulatif de cette nouvelle règle. |
|
6/ EBSYS vous aide à passer la cap Parce qu’EBSYS ne cesse de s’adapter à vos besoins, nous proposons toute une gamme de logiciels informatiques vous permettant de gérer plus efficacement votre activité. Nous travaillons avec les logiciels de comptabilité et de gestion Winbooks ainsi qu’Horus. Nous proposons également notre propre programme de gestion GeCoSoft dans lequel une nouvelle fonctionnalité a été implémentée afin de respecter cette nouvelle mesure : N’attendez plus pour demander la mise à jour de votre GeCoSoft. |
|
Êtes-vous prêt pour le 1er décembre ? N’hésitez pas à prendre contact avec nous. Nos experts se feront un plaisir d’examiner les possibilités d’adaptation de votre système afin de vous proposer la solution la plus adaptée à votre entreprise. |
Sources : https://economie.fgov.be/fr/themes/ventes/politique-des-prix/paiements/arrondi-des-paiements-en?utm_campaign=Bienarrondir&utm_content=Button_en-dessous_FR&utm_medium=site&utm_source=web https://bienarrondir.belgium.be/ |
Beaucoup de commerciaux avancent au feeling lorsqu’ils doivent développer une politique d’acquisition de nouveaux clients. Certains veulent signer le contrat tout de suite, d’autres attendent passivement les réactions du client ou encore abandonnent trop vite.
Il existe pourtant une méthode qui identifie les 6 étapes d’une vente réussie, nommée SPANCO. D’après son concepteur (XEROX) celle-ci est infaillible et améliore considérablement le taux de conversion de suspect en client.
SPANCO est l’acronyme des étapes : Suspect – Prospect – Analyse – Négociation – Conclusion – Ordre d’achat. Car il est clair qu’un suspect doit être convaincu avant de signer votre bon de commande !
Voici les 6 étapes (vers votre succès commercial) décortiquées :
1/ SUSPECT – Dans toute stratégie commerciale et marketing, vous devez obligatoirement cibler vos actions, que ce soit envers des entreprises (B2B) ou des particuliers (B2C). Les spécialistes utilisent les Personas pour décrire leur cible selon leur typologie, leurs valeurs, leurs besoins, leurs comportements, etc… Cette segmentation améliore le R.O.I. (Return On Investment) grâce à l’augmentation des retours positifs.
2/ PROSPECT – Maintenant que vos cibles sont identifiées, intéressez-les grâce à un argumentaire dédié et orienté « Bénéfice client » : facilité d’utilisation de votre produit, prix bas, délai court, qualité unique, etc…
3/ ANALYSE – Grâce à l’écoute active et aux questions que vous poserez lors des entretiens, vous déterminerez les motivations et les freins à l’achat pour chaque persona et vous préparerez l’étape suivante.
4/ NEGOCIATION – Etape cruciale car il faut convaincre ! Les objections sont des cadeaux car cela montre l’intérêt de votre interlocuteur à vouloir aller plus loin dans le parcours d’achat. Une entreprise agile voudra assurer la pérennité de la relation commerciale en fidélisant le client. La négociation sera donc de type intégrative, car vous chercherez en permanence à trouver des solutions qui conviennent aux deux parties. Cette négociation peut se faire en face-à-face ou à distance (téléphone/skype, mail, courrier postal,…).
5/ CONCLUSION – A nouveau, il est important d’aider votre prospect à se décider. Certains ont besoin d’un déclencheur pour apposer leur signature au bas du bon de commande. Vous pouvez utiliser des questions telles que : « Avez-vous toutes les informations nécessaires pour prendre votre décision maintenant ? » ou « Vous reste-t-il des questions avant de signer le bon de commande ? ». S’il reste indécis, vous pouvez proposer une offre irrésistible : cadeau supplémentaire, formation offerte, délai de livraison + court,…
6/ ORDRE D’ACHAT – Dès la signature, vous prendrez en charge la production et la livraison de la commande, que ce soit un produit ou un service. C’est maintenant que vous respecterez vos promesses commerciales et que vous entamerez une relation pérenne car satisfaisante pour le client. Votre indicateur de performance Net Promoter Score sera meilleur si cette tape est correctement gérée. Et comme vous le savez, votre client sera votre meilleur vendeur !
GECOSOFT vous offre la possibilité de gérer votre SPANCO, demandez une démo !
Les méthodes agiles se veulent plus pragmatiques que les méthodes traditionnelles, en impliquant au maximum le demandeur (client) et permettant une grande réactivité à ses demandes. Elles reposent sur un cycle de développement itératif, incrémental et adaptatif et doivent respecter quatre valeurs fondamentales déclinées en dix principes desquels découlent une base de pratiques communes à toute l’entreprise.
L’agilité implique quatre valeurs qui guident notre travail au quotidien :
- Les interactions entre les individus
Travailler en équipe et optimiser l’utilisation des ressources et compétences de chacun, crée une valeur inestimable pour le client, grâce à de bonnes relations et des outils de communication interne performants.
- Un logiciel qui fonctionne
« Focus sur le résultat, et sur la valeur définie par/pour le client. »
Voilà un élément totalement corrélé à la première valeur, et qui rend compte d’une partie de l’état d’esprit Agile. La documentation apporte des informations intéressantes, complémentaires et nécessaires, mais elle n’est pas l’objectif visé.
- La collaboration avec les clients
Il est essentiel d’impliquer le client dans l’ensemble du projet, de sa création à sa réalisation. Cette relation va permettre d’avancer, de corriger, et d’améliorer la réalisation tout au long du projet, permettant au client de mieux comprendre et apprécier la valeur délivrée par l’entreprise. Ceci peut permettre d’éviter les conflits et incompréhensions, souvent issues de la rigidité contractuelle dictant l’avancement du projet.
- L’adaptation au changement
Être flexible, c’est finalement répondre à l’ensemble des 3 valeurs listées précédemment. Cette flexibilité dans la gestion du projet va permettre une adaptation à l’évolution des équipes, aux attentes du client, ainsi qu’aux résultats obtenus et observés.
Au quotidien, cela représente 10 principes :
- Notre plus haute priorité est de satisfaire le client en livrant rapidement et régulièrement des fonctionnalités à grande valeur ajoutée.
- Accueillir positivement les changements de besoins, même tard dans le projet.
- Livrer fréquemment un logiciel opérationnel avec des cycles de quelques jours/semaines/mois et une préférence pour les délais plus courts.
- Les utilisateurs (ou leurs représentants) et les développeurs doivent travailler ensemble quotidiennement tout au long du projet.
- Réaliser les projets avec une équipe motivée. Nous faisons confiance à nos développeurs pour atteindre les objectifs fixés.
- Privilégier le dialogue en face à face comme méthode de communication.
- Un logiciel opérationnel est la principale mesure de progression d’un projet.
- Une attention continue à l’excellence technique et à un bon design.
- La simplicité – c’est-à-dire l’art de minimiser la quantité de travail inutile – est essentielle pour que le client utilise le logiciel de manière intuitive.
- À intervalles réguliers, l’équipe réfléchit aux moyens possibles pour devenir plus efficace. Puis elle s’adapte et modifie son mode de fonctionnement en conséquence.
Pour y arriver, nous avons procédé à la mise en place d’un système de Lean Management car chaque ressource étant rare et précieuse, il en découle logiquement la recherche de l’élimination de tout gaspillage et de l’exploitation optimale des ressources.
A votre service pour considérer vos besoins et vous proposer une solution personnalisée !
Trop d’entrepreneurs et patrons d’entreprise hésitent à implémenter un logiciel de gestion commerciale dans leur entreprise, par crainte du changement de l’organisation et par peur d’échouer dans cette démarche…
Pourtant les spécialistes estiment un gain de productivité supérieur à 10% lorsque ce nouvel outil de gestion est intégré en suivant des règles simples.
Découvrez ci-dessous un mode d’emploi concret et efficace pour améliorer votre performance.
1/ Impliquez toute l’équipe
J’entends souvent la remarque qu’un logiciel de gestion clientèle est uniquement utile aux commerciaux de l’entreprise… FAUX ! Chaque membre de l’équipe doit être concerné par la satisfaction du client, que ce soit avant la vente, pendant celle-ci et surtout après la signature du client : fabrication, livraison, formation, facturation, etc…
Impliquer les collaborateurs de tous les services dans le processus de mise en place optimise son utilisation et améliore son efficacité sur le long terme.
2/ Focus client !
A l’ère du digital, le cross canal est R.O.I. ! C’est-à-dire que la mise en place de plusieurs canaux de communication et de vente pour rencontrer les attentes du client va amener un R.O.I. (Return On Investment) très intéressant ! En effet, vous devez être au bon endroit au bon moment pour rencontrer votre prospect. Et il faut centraliser toute cette organisation pour avoir une vue d’ensemble claire et précise et rendre le parcours d’achat fluide, en accompagnant votre (futur) client vers l’achat. Un logiciel de gestion intégrée vous permettra d’actionner les bons leviers au bon moment pour que votre prospect devienne un client heureux.
3/ Personnalisez les fonctionnalités
L’objectif est un gain de temps et de productivité, raison pour laquelle il est déconseillé de choisir un logiciel standard, car moins cher ou parce que votre voisin vous l’a conseillé.
L’implémentation d’un logiciel de gestion doit être précédé d’un diagnostic de l’organisation globale. Beaucoup d’entreprises se plaignent d’un logiciel compliqué, mal structuré par rapport à leurs besoins ou d’options inutiles qui ralentissent la prise en main et l’utilisation du CRM. C’est effectivement handicapant et cela diminue la productivité. Et je vous rappelle que ce dernier point est la raison d’être du choix d’implémentation d’un outil de gestion !
Mon conseil est d’opter pour un logiciel le plus ouvert possible et personnalisable par rapport à VOTRE situation . Chaque organisation est unique et a droit à une solution unique, qui lui facilite la vie ! Choisissez donc votre outil de gestion en fonction de son ADAPTABILITE …
Darwin disait « Les espèces qui survivront ne sont ni les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adapteront le mieux à leur environnement ». Nous pensons qu’il en est de même pour les entreprises et pour les logiciels qu’elles utilisent.
4/ Assurez la qualité et la fiabilité des données intégrées.
Le transfert des données dans votre nouvel outil de gestion est une étape importante dans la réussite du projet. En effet, beaucoup de données sont obsolètes ou se trouvent dans plusieurs fichiers de votre ancienne organisation. Si vous transférez tout sans nettoyer vos fichiers entrants, vous risquez d’avoir des doublons inutiles, ou pire, des informations erronées provoquant des erreurs de facture, de suivi ou encore de logistique.
Nous vous invitons à réfléchir aux informations importantes à conserver (et à sauvegarder), aux nouvelles informations à insérer (par exemple des nouveaux contacts sur votre site Internet) et à classer celles-ci de manière à autoriser les bonnes personnes dans l’entreprise à modifier les données. Chaque utilisateur se verra autoriser (ou refuser) l’accès à certaines informations et pourra (ou non) les modifier. Vos données sont votre richesse, la fiabilité de celles-ci en est la gardienne…
5/ Formez votre personnel !
Dernier conseil que je vous donne dans cet article, c’est bien évidemment de ne pas laisser les utilisateurs dans l’embarras lors de l’utilisation (quotidienne) d’un outil de gestion. En effet, s’ils ne maîtrisent pas parfaitement les fonctionnalités du logiciel, ils retourneront à leurs anciennes habitudes et l’effort fourni (financier et humain) aura été vain… !
Conclusion :
Nous préconisons une analyse complète des solutions existantes sur le marché, pour choisir celle qui conviendra le mieux à vos besoins et qui s’adaptera à votre organisation. Nous sommes à votre entière disposition pour vous présenter le logiciel GECOSOFT, et réaliser une démonstration qui vous convaincra de la plus-value qu’il apportera à votre entreprise.
Aujourd’hui, l’enjeu de la numérisation de notre économie est au cœur de nos préoccupations et s’impose à toutes nos activités inéluctablement.
• Vous êtes une entreprise ?
Pas moins de 2,5 milliards de factures sont émises chaque année en Belgique ! Force est de constater qu’à ce jour, la moitié encore des factures sont toujours manuelles (soit sur papier et envoyées par la poste). Toutefois, le phénomène de digitalisation croît à grands pas. Le passage à la facturation électronique prend évidemment tout son sens quand on aborde les coûts. Statistiquement, le coût intégré d’une facture envoyée pour une entreprise s’élève à 4,44 euros pour la version papier, 2,02 euros via le mail et 1,20 euros par voie électronique. Quant aux factures reçues, le montant est encore plus élevé car il est estimé à 8,04 euros la version papier,7,68 euros via mail et 2,27 euros par voie électronique. Conclusion : plus de 70 pourcent de réduction de coûts si on passe complètement du papier à l’électronique.
• Vous êtes comptable ?
Le comptable est quant à lui un acteur incontournable dans cet enjeu. Le comptable étant clairement perçu par ses clients comme le 1er conseiller de l’entreprise, il peut accélérer ou non cette transition, encore faut-il qu’il en soit convaincu. Seulement 30 pourcent identifie la digitalisation comme le défi à relever des prochaines années.
Le SNI entend vous convaincre que la facturation électronique est une chose pour vos activités. C’est pourquoi le SNI, en partenariat avec Digital Wallonia, a décidé de programmer dans différentes villes wallonnes des présentations très concrètes de ce que la facturation électronique peut vous apporter dans le développement de votre entreprise afin que chacun puisse en comprendre les tenants et aboutissants et franchisse le pas numérique.
Notre programme s’axe principalement sur la rentabilité que vous pourrez percevoir en passant à la facturation électronique mais il abordera également le volet des aides financières wallonnes disponibles pour l’ implémenter dans votre activité.
Vous êtes une PME, un indépendant, une profession libérale, un commerçant ou un artisan ?
Le SNI et ses partenaires seront heureux de vous recevoir aux dates et endroits suivants :
À Ath, La Maison des Géants, le 1er février 2018 à 19h, Rue de Pintamont 18 – à 7800 Ath
Vous êtes comptable ?
Le SNI et ses partenaires seront heureux de vous recevoir aux dates et lieux suivants :
A déterminer
Toutes ces présentations seront animées par Mr Eric Bertrand, consultant en informatique de gestion.
Vous pouvez vous inscrire en envoyant un mail à info@sninet.be ou en appelant au 02 308 21 08.
En partenariat avec:
source : http://www.sninet.be/fr/actualit-eacute-s/detail/le-sni-organise-des-s-eacute-minaires-sur-la-facturation-eacute-lectronique